Pour son quatrième album, Claire Lise nous dévoile une collection de portrait de femmes entre sensualité, érotisme, déchéance et espoir. Une sensualité de la voix et des mots, à la fois légère et poignante, sur des sonorités électriques. Sans doute faut-il voir là la patte du producteur Polérik Rouvière (Souchon, Tiersen, Dionysos…) qui souligne, dans « La Chambre rouge » le caractère de la jeune femme qui s’affirme toujours un peu plus dans le côté pop de la chanson française. La voici le temps d’une courte interview automatique.
A quoi rêviez-vous enfant ?
L’évangélisation et la paix dans le monde !
Av(i)ez-vous des modèles ?
Michel Fugain à 10 ans, Mathieu Boogaerts à 16 ans, Brel à 20 ans
Comment décririez-vous votre travail ?
Sans compromis, sans consensus, franc, énergique.
Et pour de vrai, vous faites quoi dans la vie ?
Et vous ?
Quelle est votre actualité ?
« La Chambre rouge » est sortie lundi 13 février dans les bacs. Nous jouons au Zèbre de Belleville mercredi 29 février et aux Trois Baudets le 23 mars !
Quel est votre dernier coup de cœur artistique ?
Bach par Racha Arodaky.
Quel est le dernier cadeau que vous ayez fait ?
« Even in the Quietest Moments », album de Supertramp (77)
Que sauveriez-vous des flammes d’un incendie ?
Léon, ma chatte.
Vous faites quoi demain ?
Je me lève, je prends deux grandes tasses de café, 2 tartines, je pianote sur ordi, sur piano. Réunion de travail à midi (label), réunion de travail après-midi (clip), répétition de 19h à minuit… Dodo. Putain ça fait un peu wonder woman ! Il y a des jours où j’en fais moins.